Avant-goût de trois poèmes à lire séparément
S'il fallait que ma vie comme la poussière de chemin
S'élève, m'enlève pendant que mon âme, prise par la main,
Plane et me mène sans se tourner vers mes demain
Qu'adviendrait-il de tout ce que j'aime, ce à quoi je tiens!
Chante merveilleux ruisseau où je prenais mon eau
Gronde de ta plus grosse voix mon beau torrent, bien haut
Et toi, le vent souffle fort pour qu'au travers les choses
Ton bel hymne nous arrive, enflant cette splendide prose
Quelle expérience étrange à vivre hors d'un fini
Que d'entendre chant de vie partout en l'Infini!
Reviens! Je t'aime, je ne pense qu'à toi
Il n'y a rien, tu n'y es pas
Je ne fous rien, je compte mes pas
L'Infini se meurt, tu n'es plus là!
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